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Tous les articles pour le tag pays basque
Sud Ouest : L'immobilier retrouve de la vigueur à Bayonne - 30/11/2015
Zoom sur Bayonne, un marché qui reprend des couleurs. Plus résidentielle que sa « périphérie », Biarritz, la ville reste dynamique à la vente. (LaVieImmo.com) - Le marché se porte plutôt bien en ce moment à Bayonne. Les vente y sont « actives et régulières », de l’avis de Philippe Ribeton, responsable de l’agence Century 21 Nivadour. Les acquéreurs sont bel et bien présents : les primo-accédants font leur retour sur le marché, et les secundo-accédants, qui ne l’ont jamais vraiment quitté, achètent dans l’ancien comme dans le neuf selon l’agent immobilier. Bayonne est davantage résidentiel que sa voisine Biarritz, tournée vers le tourisme. Certains quartiers y sont particulièrement recherchés : Marracq, le centre-ville, mais aussi les Allées Paulmy, le quartier des Arènes ou le quartier Saint-Léon, précise Marché-Immo.com, le site immobilier du Crédit foncier. Quant aux prix, les notaires de France notent une moyenne à 2 631€/m⊃2; en février 2013. Un niveau qui stagne sur un an. Mais les prix du neuf peuvent monter jusqu’à 4 000€/m⊃2;, un niveau hors de portée pour de nombreux acquéreurs. Résultat, « un marché difficile, (où) les prix sont élevés et les programmes ont ...
Immobilier : les transactions font le grand écart sur la Côte Basque - 30/11/2015
Le marché immobilier de la Côte Basque apparaît de plus en plus contrasté. Plusieurs statistiques font état d’une baisse des prix de plus de 20% au cours des trois dernières années. Barnes, acteur majeur sur le segment de l’immobilier de luxe, ne conteste pas ces chiffres. Seulement, cet hiver, il a finalisé 2 transactions au-delà de 5 millions d’Euros, dont une à près de 10 millions d’euros. À ce niveau de prix, il est difficile de parler de crise ou de retournement du marché. Il convient cependant de préciser pour ce dernier bien qu’il s’agissait d’un hôtel haut de gamme, idéalement situé, face à la mer, dans le village très chic de Bidart. En outre, l’acquéreur, comme le vendeur, étaient tous deux des professionnels du tourisme de luxe. La transaction était donc hors normes par bien des aspects.Elle n’en demeure pas moins révélatrice d’une tendance. Barnes note un nombre croissant de particuliers, français, mais aussi étrangers, qui font le pari d’investir dans des hôtels, ou dans l’immobilier para-hôtelier. Fiscalement, des établissements de ce type sont considérés comme des biens professionnels. À ce titre, ils échappent à l’ISF. Ensuite, d’un point de vue de la ...
Le marché de construction de la salle de spectacle d’Anglet annulé pour concurrence déloyale - 30/11/2015
Le Tribunal administratif de Pau vient d’annuler le marché de construction de la Salle Quintaou à Anglet qui a ouvert ses portes en janvier dernier. La Ville a été condamnée à verser 73 000 euros d’indemnités à Eiffage pour non respect de l’article 46 du code des marchés publics. Le groupe avait saisi la justice après l’attribution du marché à la société espagnole Altuna y Uria considérant que celle-ci n’avait pas fourni toutes les attestations nécessaires. Dans son jugement du 15 mai, le tribunal administratif (TA) de Pau (Pyrénées-Atlantiques) a donné raison à Eiffage et à la fédération française du bâtiment et des travaux publics des Pyrénées-Atlantiques (BTP64) en annulant le marché de construction de la salle de Spectacles Quintaou à Anglet (Pyrénées-Atlantiques), inaugurée en début d'année. Le TA a également condamné le maître d'ouvrage à verser à Eiffage 73 000 euros d'indemnités calculés sur la marge bénéficiaires non réalisée. Premier référé en 2011 Lors de l'attribution du marché de gros oeuvre à l'entreprise espagnole Altuna y Uria fin 2011, Eiffage avait saisi le tribunal en référé précontractuel pour que le marché ne soit pas notifié. Débouté en ...
Le Pays basque, un territoire français qui n’a pas connu la crise immobilière - 16/06/2017
Le journal La Tribune organisait récemment une table ronde sur le marché immobilier au Pays basque. La forte attraction de la zone côtière basque crée un déséquilibre avec l'intérieur du territoire « Le Pays basque compte 300 323 habitants, dont 58 % sont installés le long du littoral. Au cours des cinq dernières années, nous avons accueilli 13 473 nouveaux habitants. C'est la rançon d'une progression démographique élevée, à + 0,92 % par an, contre par exemple + 0,5 % en France métropolitaine. Un boom démographique porté par le solde migratoire », a rappelé le président de la Chambre de commerce et d’industrie, André Garetta.
Sur la côte basque, la guerre du foncier est déclarée - 16/08/2017
Surchauffe immobilière, contraintes locales ... De Biarritz à Saint-Jean-de-Luz, le foncier devient denrée rare et exacerbe les tensions. Enquête. « Le marché est très actif, se félicite Philippe Thomine-Desmazures, qui en deux ans a presque doublé son nombre de transactions (haut de gamme) avec un prix moyen de 1,2 million d'euros. Jusqu'en 2014, le pouvoir de négociation était aux acquéreurs ; maintenant, quand le bien présente une certaine rareté, le rapport de forces s'est inversé : le vendeur a la main. Il sait qu'on manque de biens comparables, qu'on n'est pas sur les côtes corses ou varoises, plus escarpées, et présentant davantage de “vues sur mer” ; il peut résister. » Recherche terrains désespérémentEt pour cause : il n'y en a plus. « Le foncier se raréfie sur la côte, où sont installés 60 % des 300 000 habitants du Pays basque, explique André Garreta, président de la CCI Bayonne Pays basque et agent immobilier à Anglet. Au cours des cinq dernières années, nous avons accueilli 13 500 nouveaux habitants, une progression double par rapport à la moyenne nationale en France métropolitaine. De plus, 70 % des logements en construction se situent sur le littoral, ...
Pays basque : que pensez-vous de la hausse de la taxe sur les résidences secondaires ? - 09/10/2017
Lors du dernier conseil municipal, les élus de Saint-Jean-de-Luz ont décidé de majorer encore plus la taxe d’habitation sur les résidences secondaires de 20 à 40%. La loi autorise les communes du littoral basque à majorer la taxe jusqu’à 60 %. Cette décision ne va pas donner le sourire aux propriétaires de résidences secondaires, qui représentent quasiment la moitié du parc immobilier de la cité. Mais elle devrait rapporter près de 840 000 euros en plus à la commune chaque année. De quoi compenser en partie la baisse des dotations de l’État. Du côté de Ciboure, le maire Guy Poulou se refuse à faire gonfler cette taxe une nouvelle fois. La dernière majoration de 20% date de 2016 et rapporte 200 000 euros à la commune. Si Ciboure était passée à 40%, elle aurait pu encaisser 200 000 euros de plus chaque année.