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Web Immobilier : la location saisonnière 2.0 connaît un succès

WEB IMMOBILIER : LA LOCATION SAISONNIÈRE 2.0 CONNAÎT UN SUCCÈS


Airbnb, Abritel, Homelidays, SeLoger Vacances, Novasol... les sites spécialisés dans la location saisonnière se multiplient. Quelque 300 000 des 500 000 locations de vacances réalisées en France en 2011 ont été effectuées par l'intermédiaire d'Internet, selon l'agence de développement touristique Atout France.


Le rôle de ces sites : mettre en relation des propriétaires avec des touristes qui cherchent à louer une chambre ou un appartement. Pour les particuliers, c'est un bon moyen d'amortir le coût de leur logement. "Les locataires peuvent aussi se lancer, mais ils doivent obtenir l'autorisation écrite de leur bailleur", précise Cyrille Coiffet, président de l'Union nationale pour la promotion et le développement de la location de vacances, qui regroupe une dizaine de sites.

La part de marché des agents immobiliers chute, elle, en raison des tarifs élevés, (de 15 % à 20 % du loyer). Même si tout est pris en charge : ils trouvent les locataires, gèrent la caution, remettent les clés et dressent les états des lieux d'entrée et de sortie.

Face à eux, les sites de petites annonces facturent de 150 à 200 euros pour la publication d'une offre pendant un an. Abritel, le leader du marché, qui revendique 90 000 annonces, exige, par exemple, 149 euros. Leboncoin.fr demande 75 euros pour six mois de présence et dix photos.




ABSENCE DE GARANTIE

Même s'il n'existe pas de règle, l'habitude veut que le locataire verse des arrhes correspondant de 15 % à 20 % du coût de la location et qu'il s'acquitte du solde à son arrivée. Mieux vaut ne pas envoyer de mandats cash à l'étranger car, sur des sites générant de tels flux, impossible de contrôler le sérieux de toutes les locations.

En effet, l'absence de garantie est le point faible de ces sites. Abritel et Homelidays ont conclu un accord avec Europe Assistance, ce qui leur permet de proposer deux assurances : un remboursement jusqu'à 800 euros en cas d'annonce fictive et une assurance annulation classique.
Mais, si le bien ne correspond pas aux photos, les recours sont limités. Le propriétaire qui loue est mieux protégé. Son assurance-dommages couvre le coût d'éventuelles dégradations et il peut fixer une caution élevée.

Le site américain Airbnb, créé en 2008, se veut une réponse à ces problèmes : il publie gratuitement les annonces, mais encaisse les versements et assure le paiement, en échange d'une commission élevée. "Lorsqu'un propriétaire met un bien à louer à 100 euros la nuit, il touche au final 97 euros et le coût pour le locataire se situe entre 106 et 112 euros", précise Olivier Grémillon, directeur d'Airbnb France.



ABATTEMENT DE 71 %

Le site s'engage à trouver une solution de remplacement si la location n'est pas à la hauteur du descriptif. Il garantit les lieux contre d'éventuelles dégradations, à hauteur de 700 000 euros. Le français Sejourning s'est récemment lancé sur ce créneau.

Côté fiscalité, seule la moitié des loyers doit être déclarée. L'abattement atteint même 71 % pour les biens bénéficiant d'un label officiel (Clévacances, Gîtes de France...).

Les revenus locatifs issus d'une location saisonnière sont soumis au régime d'imposition des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou micro-BIC, si les loyers perçus ne dépassent pas 32 600 euros par an. Ils doivent être mentionnés dans la déclaration de revenus et sont taxés selon la tranche marginale d'imposition du contribuable.


article updated 13/09/2013 by WWW.LEMONDE.FR

Tags: immobilier, actualité immobilière, web 2.0, location, location saisonnière, revenus locatifs, web immobilier,


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